Les sirops & autres boissons fraîches

Présentation originale en bouteille pour cette mélasse de caroube issue du commerce équitable.

Produite par une coopérative de femmes du village de Menjez, dans le nord du Liban, cette mélasse de caroube (debs kharroub en libanais) est préparée dans les règles de l'art, sans conservateur. Les graines de caroubier sont rincées, concassées, puis pressés avant d'être chauffées doucement avec de l'eau. Le résultat est un sirop sucré que l'on sert souvent au petit déjeuner avec de la crème de sésame.

Les graines de caroubier étant naturellement sucrées la mélasse de caroube était autrefois utilisée pour sucrer les desserts lorsque l'usage du sucre n'était pas encore répandu.

On adore le conditionnement très pratique en bouteille munie d'un système anti-gouttes.

Si vous frappez à la porte d'un ami ou d'un prôche en terre libanaise, impossible de passer outre la boisson au sirop de rose !

Synonyme de convivialité et de retour en enfance, ce breuvage est particulièrement apprécié en été pour ses propriétés énergisantes et rafraîchissantes. Intensément floral, ce sirop de rose 100 % naturel obéit à une fabrication artisanale et authentique : tout commence ar une distillation lente des pétales de la belle rose de Damas, variété mondialement convoitée pour son incomparable finesse. Sont ensuite ajoutés un sirop de sucre et quelques feuilles de roselle pour une coloration naturelle.

Elaborée avec passion par une coopérative de l'ouest de la Bekaa, cette boisson soutient l'émancipation des femmes rurales libanaises.

Au Liban, le sirop de mûre est considéré comme la boisson estivale rafraichissante par excellence. Il peut également est être versé sur des gâteaux, des yaourts ou des desserts.

Ce délicieux sirop de mûre provient directement de petits agriculteurs de la vallée de la Bekaa.

Le saviez-vous ? Au Liban, les mûriers sont liés à l'apogée de la fabrication de la soie. De 1872 à 1910, la production de soie était considérée comme le pilier de l'économie libanaise. La plupart des familles libanaises élevaient des vers à soie à la maison, c'est pourquoi elles cultivaient des mûriers dans leurs jardins.